06 Sep La Guinée équatoriale mise sur les robots pour renforcer le contrôle des signes vitaux dans les aéroports et les hôpitaux
- Il s’agit d’une initiative du gouvernement de la Guinée équatoriale avec le soutien du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD)
- Ouverture de la formation pour former les jeunes entrepreneurs à la manipulation des robots pandémiques
La propagation du nouveau coronavirus augmente dans plusieurs pays et des épidémies se produisent qui pourraient tôt ou tard atteindre d’autres endroits. Pour cette raison, le gouvernement de la République de Guinée équatoriale, avec le soutien du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), s’est engagé à trouver des solutions innovantes qui peuvent soutenir les protocoles de réponse et de surveillance au COVID-19 et renforcer le mesures de collecte et d’analyse des données.
Dans ce cas, des robots, conçus avec des fonctionnalités très avancées, ont été achetés pour aider les médecins et les infirmières dans les centres de traitement désignés et aux points frontaliers, comme l’aéroport de Malabo.
La Guinée équatoriale est le deuxième pays africain, après le Rwanda, à mettre en place des robots pandémiques. Le 4 septembre, la formation des jeunes entrepreneurs à la gestion de ces robots a été ouverte, mais aussi pour couvrir différents domaines d’action comme l’encouragement à la création d’entreprises technologiques qui apportent de nouvelles solutions.
Les robots anti-pandémiques peuvent prendre la température de 200 personnes en une minute environ, surveiller le bon respect des protocoles -comme le port d’un masque- désinfecter les zones communes ou livrer des articles essentiels -aliments, médicaments, etc. aux patients atteints COVID-19 [FEMININE.
Une série d’actions permettant de réduire les contacts entre les patients et le personnel soignant, les protégeant ainsi d’une exposition quotidienne à la maladie.